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La relativité restreinte d’Einstein nous donne l’occasion de nous interroger sur les croyances en matière d’OVNI et de paranormal. C’est aussi l’opportunité de présenter la Science des Extraterrestres. Bien plus qu’un livre, il propose un nouveau paradigme : la Relativité Absolue !

La dualité entre la matière et l’esprit fait des ravages d’ignorance dans la compréhension globale de l’univers. La Relativité Absolue est un concept révolutionnaire et pourtant d’une extraordinaire simplicité. Il démontre que matière et esprit sont une seule et même chose, et que l’énergie n’est que l’effet d’une différence entre deux écoulements de temps. Michel Carmassi, docteur en physique, donne le ton dans le N°59 de Parascience de septembre 2005 :

« Si les hypothèses, séduisantes je l’avoue, d’Eric Julien sont vérifiées directement ou indirectement, alors oui, cela expliquerait tout le paranormal, je dis bien tout le surnaturel, plus exactement tout le naturel non encore expliqué, et il faudrait lui donner le prix Nobel de physique ».

La grande majorité des gens se contentent souvent des idées reçues en matière de science, d’ésotérisme et de spiritualité

Pourtant, celles-ci n’ont jusqu’alors jamais abouti à la solution finale et technique permettant d’embrasser dans un même ensemble des conceptions apparemment aussi opposées que le monde matériel et le monde spirituel.

L’année 2005 restera certainement marquée par la Science des Extraterrestres dont la traduction dans différentes langues est d’ores et déjà en cours. La meilleure façon de combattre l’ignorance est d’offrir les matériaux de la connaissance à ceux qui se posent des questions. Cette connaissance fut transmise par des extraterrestres. Bien que cet article dévoile plus particulièrement les mécanismes des apparitions d’OVNI, c’est l’ensemble des mystères paranormaux et spirituels que la Relativité Absolue explique.

Envisager l’existence des extraterrestres dans notre environnement est qualifié d’imaginaire et d’irréalisable

Deux limites ont été entretenues pour nous en convaincre. La première est celle du rêve que l’industrie cinématographique a pour but de mettre en image. Ainsi, nous associons inconsciemment une fiction à l’absence totale de réalité. Si c’est au cinéma, ça n’existe pas. La toile fait donc écran. La seconde est celle de la vitesse de la lumière. Nul ne peut aller plus vite que la lumière. Personne ne peut donc venir d’une étoile pour visiter la Terre. Fin de démonstration. Passez votre chemin.

Pourtant, admettre l’existence d’intelligences extraterrestres ne pose pas de problème à la communauté scientifique ! En effet, tout astronome sait parfaitement que les gaz interstellaires recèlent des molécules formant les matériaux de la vie. Dans le foisonnement des galaxies, aux myriades d’étoiles, la vie s’est donc inévitablement développée. Plus près de nous, Mars fut un immense réservoir d’eau, siège d’une vie probable. Les tenants de la thèse darwinienne de l’évolution, théorie conservatrice pour le moins controversée pour ses chaînons manquants comme, à l’inverse, ses absences totales de mutations, sont même les premiers à admettre que l’évolution conduit tôt ou tard à l’intelligence par adaptation à l’environnement. Ce qui ne manque pas de faire sourire les ufologues. En effet, qu’y a-t-il après le stade de l’intelligence humaine ? A quoi l’homme devra-t-il s’adapter dans les prochains siècles ? Les ET sont-ils, comme nous, limités par la vitesse de la lumière ?

Que sont les OVNI ? Des illusions ? Un mythe ? Des canulars ? Des méprises ? Des technologies humaines ?

Les vrais OVNI sont des vaisseaux extraterrestres.

Mais ils ne sont pas spatiaux ! D’abord parce que l’univers lui-même est extraterrestre ! Mais aussi parce qu’il est extratemporel !

La densité du temps est un concept majeur : à une densité de temps donnée correspond une quantité d’informations physiques simultanées donnée. Dans une densité supérieure le nombre d’informations simultanées est plus grand. Plus ce nombre augmente, moins la matière est « solide » car les échanges de l’état considéré s’accroissent…jusqu’à ce qu’il nous devienne physiquement invisible car apparemment trop rapide de notre point de vue de veille.

La vitesse de la lumière demeure une limite. Mais de quoi ?

Revenons en l’an de grâce 1905. Einstein utilisa les travaux de nombreux savants dont Lorentz et Poincaré, pour décrire et comparer le comportement de ce qu’il est coutume d’appeler des référentiels galiléens, c’est-à-dire des repères d’espace et de temps. Il aboutit notamment à la conclusion que l’espace et le temps sont indissociables, que la vitesse de la lumière c est infranchissable et constante dans le vide. Le temps se résume alors à un écoulement d’instants allant du passé vers le futur. Dans cette vision, un effet ne peut précéder une cause. La limite de la vitesse de la lumière devient donc celle de la causalité qui ne peut être inversée.

La Science des Extraterrestres est fondée sur la connaissance intime de la nature du temps. Ce dernier est fondamentalement cyclique et fractal (reproduction à l’identique d’un objet à une échelle différente). Or, un cycle est un processus par lequel un point d’origine est aussi le point d’arrivée. La causalité y fait défaut. Toute la science des hommes, toutes leurs équations ont besoin de la causalité pour expliquer le monde. Expliquer revient à décrire une relation entre deux situations. Mais se peut-il qu’une relation puisse structurellement nous échapper ? Prenez le Big bang. L’univers est en expansion accélérée nous dit-on. Soit. Mais s’il dilate vraiment, pourquoi étudie-t-on l’univers microscopique ? Douloureuse question en vérité…

Dans cet univers, la mécanique quantique n’applique pas le concept de causalité de façon stricte ! Elle utilise les probabilités. La structure de la matière est non seulement immatérielle, car ondulatoire (on ne constate la matérialité qu’à notre échelle spatiale), mais en plus les savants « expliquent » l’univers avec une absence de loi : le hasard ! En quoi le hasard est-il causal ? Un véritable non sens. Une hérésie mondaine. Il est remarquable de constater que, d’un côté, les mêmes probabilités servent la cause du déterminisme des équations (preuves solides) issu de la mécanique statistique de l’infiniment petit, de l’autre et à l’inverse, elles servent la cause du hasard (absence de preuve) réfutant par exemple les résultats des tests parapsychologiques (télépathie, précognition, etc.). Le même instrument conceptuel pour deux logiques opposées ? L’opportunisme scientifique des « rationalistes » frôle souvent la malhonnêteté intellectuelle.

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La « rationalité » n’est-elle pas finalement qu’une croyance tenace ? Qu’un parti pris sectaire et irrationnel ? Qu’une opinion, qu’un point de vue d’observateur ? Avant de parler de preuve, il importe d’évoquer sa définition. Or, l’histoire des sciences prouve qu’elle évolue avec le temps ! Alors, preuve du hasard ou hasard de la preuve ? N’est-ce pas notre point de vue d’observateur qui doit changer puisque c’est de ce dernier dont dépend la preuve ? Avant de juger, encore faut-il en être capable ! Ce dont, naturellement, beaucoup sont persuadés…puisqu’ils jugent ! Mais les gens lucides savent qu’une opinion n’est qu’une opinion, fut-elle émise par des « notables ». C’est pourquoi RIEN ne peut remplacer l’expérience personnelle. Comme RIEN ne la rend absolue. La seule voie universelle est donc le partage de l’expérience. Ce qui rend l’interaction des ET avec les humains inévitable. La question du pourquoi étant résolue, reste à savoir comment.

Mécanique quantique

Le principe général de la mécanique quantique est de faire varier les grandeurs physiques par petits paquets, comme si vous comptiez les grains de sable sur la plage. Une onde est avant tout une déformation traversant un milieu, c’est-à-dire de l’espace qui s’écoule dans le temps. La Relativité Absolue suggère que le temps est transporté par les ondes, et non pas que les ondes, phénomène universel s’il en est, se propagent « avec » le temps. Accrochez-vous : bien qu’étant admise par le sens commun, rien n’explique aujourd’hui la propagation des ondes ! Or, la Relativité Absolue décrit pourquoi et comment les phénomènes n’existent que selon l’espace-temps fractal auquel ils appartiennent ou traversent.

Les fractales

Qu’est-ce qu’une fractale ? Imaginez un littoral rocheux comme la Bretagne. La forme générale se reproduit mais à des échelles de plus en plus petites. Pour nous, êtres humains, la côte représentera une certaine distance. Pour la fourmi qui devra suivre les méandres des moindres cailloux, la distance à parcourir sera beaucoup plus longue, longueur intangible pour nous.

Comme l’espace, le temps se reproduit, mais les cycles sont de plus en plus courts jusqu’à une limite imperceptible. Le temps deviendra stroboscopique (alternances de temps perçu). Il existera donc des phénomènes qui nous seront impossibles à percevoir. Or, la réalité semble justement le caractère de ce qui nous apparaît avoir une certaine durée. Cette réalité est donc bien relative ! Les extraterrestres ne cherchent pas à atteindre la vitesse de la lumière mais à la réduire au maximum. Ce qui aura pour effet relatif de nous montrer des accélérations foudroyantes. Paradoxal, n’est-ce pas ?

Rien n’explique le caractère quantique de la matière…
à part le temps cyclique !

En effet, c’est la seule variable qui puisse être logiquement finie, donc quantifiée. D’ailleurs, demandez à un scientifique ce qu’il y a entre deux états quantiques. Le plus souvent, un grand silence de sa part. Ce silence est d’autant plus étonnant que le temps cyclique (spin) est justement ce qui caractérise les électrons et les protons, principaux constituants de la matière !

Mais quel rapport y a-t-il entre le voyage des extraterrestres dans « l’espace » et l’infiniment petit ?

Les vaisseaux extraterrestres ont la capacité de passer des lois macroscopiques aux lois microscopiques en faisant varier l’écoulement du temps, c’est-à-dire le nombre de grains de temps cyclique. A chaque échelle d’espace est associée littéralement une quantité de temps cyclique. Les vaisseaux, dits aveuglément spatiaux, ne voyagent pas dans l’espace mais entre des espaces-temps superposés d’échelles différentes. L’univers est un mille-feuille dont l’entendement global est impossible : à chaque couche ses sens de perception ! Au monde physique, ses cinq sens. Au monde psychique, les siens. Et donc au monde spirituel…ses aveugles !

La loi fondamentale de la Relativité Absolue remplace la séculaire relativité restreinte. Elle se résume en une phrase que n’importe quel enfant de cinq ans peut retenir : « plus il y a de temps, moins il y a d’espace, et inversement ». Ainsi, la vitesse de la lumière est la limite entre deux espaces-temps séparés par leur échelle selon un nombre défini de grossissements, en l’occurrence sept selon J.P Garnier-Malet, docteur en physique (http://www.garnier-malet.com). De son côté, Laurent Nottale (http://wwwusr.obspm.fr/~nottale/), autre docteur en physique, étudie la relativité d’échelle depuis vingt ans. Nombreux sont les savants du temps comme Tifft, Letho, Shikhobalov et autre Venik. Doit-on insister sur la démonstration expérimentale de la densité temporelle dans un mécanisme rotatif par Kozyrev dès les années 50 ? Doit-on rappeler aux neuropsychiatres, adeptes des explications matérialistes, que notre corps physique n’évolue pas à la même vitesse que ce qui le…constitue ? Relisez calmement bien cette question. Si ce n’est pas suffisant, répétez l’opération. Surtout n’hésitez pas. Votre vie risque d’en être profondément modifiée car…

Quelqu’un peut-il dire où et quand se trouve la conscience ? Doit-on redire que la relativité restreinte elle-même affirme ces écarts de perception de l’espace et du temps en fonction de la vitesse ? Qu’est-ce alors que « l’imagination », si ce n’est un état particulier de notre conscience à émettre et recevoir des informations à une vitesse relativiste ? Peut-il y avoir réception, fusse-t-elle par ignorance qualifiée d’imaginative, ailleurs que dans l’espace et le temps, supports de toute perception ? Nous n’en sommes qu’aux balbutiements car la puissance d’abstraction nécessaire est si grande que n’importe quel physicien chevronné peut en perdre son latin. Un simple schéma permet pourtant de se représenter les intervalles de temps de la Relativité Absolue au sein desquels se multiplient des chronons (quanta de temps) plus petits.

Il suffit aux extraterrestres de diminuer l’écoulement du temps pour nous apparaître parfaitement matériels dans notre monde dilaté

Ils y réussissent grâce à la conjugaison de deux formes de pompage temporel largement expliquées dans l’ouvrage, notamment en utilisant des rotors et des champs électromagnétiques tournants. La grande difficulté consiste à appréhender ce qui se produit à l’intérieur d’un système faisant varier l’écoulement temporel. En effet, l’état de la matière en dépend directement ! Nous ne percevons que les différences de densité de temps dans les manifestations de la nature car nous les « voyons » de l’extérieur, depuis une échelle spatio-temporelle déterminée.

Les agences « spatiales », à moins qu’elles ne soient débaptisées, sont les moins bien placées pour aborder les phénomènes extratemporels. En effet, ces « anomalies » ufologiques ne sont pas aérospatiales mais transmatérielles. L’état « matière » est un cas particulier d’un ensemble plus vaste. Il n’y a de « substance rigide » qu’à notre échelle spatiale…et temporelle. Comment prétendre étudier les PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés) en faisant l’impasse sur l’essentiel ? Sur cette part psychique des manifestations dont la casuistique est extraordinairement plus riche et pourtant délaissée ?

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Chaque grain de temps constitue une information, un état. Ainsi, le temps possède une densité. Plus elle est importante, plus il existe d’informations et plus l’intensité des phénomènes sera troublante.

Plus il y a de temps, moins il y a d’espace, et inversement

Les hautes densités temporelles sont le siège du psychisme, dont les ET se sont rendus maîtres. Ils s’incarnent à volonté suite à une mutation génétique synonyme de maîtrise des paquets d’informations au sens de l’entropie universelle, qui devient alors néguentropique (informations structurées à l’image de la structure de la molécule d’ADN). C’est d’ailleurs ce qui nous distingue des animaux. C’est aussi ce qui différencie, d’une manière générale, le vivant de l’inerte. Il existe le même écart qualitatif entre le vivant immatériel et le vivant matériel. Les perceptions extrasensorielles, les émotions ou les pensées sont issues des densités de temps les plus élevées dont l’accès dépend de la très complexe structure du réseau neuronal, véritable ascenseur spatio-temporel. C’est également le cas des rêves, apparemment brefs, dans lesquels se produisent quantités d’événements que notre mémoire ne peut retrouver dans le temps physique, d’où leur caractère fugace et incohérent de notre point de vue de veille (densité temporelle plus faible). Ainsi, l’écart entre matériel et spirituel ne provient que d’une différence d’écoulement de temps. La question n’est donc pas d’y croire, ou même de le comprendre, mais d’être apte ou non à « s’élever » ! Autrefois, l’homme était frappé de géocentrisme en se croyant le centre du monde. Se pourrait-il qu’en ce début de millénaire l’homme demeure figé dans le chronocentrisme en s’imposant dans les équations une unité de temps arbitraire ?

Diversité et étrangeté caractérisent les phénomènes OVNI et paranormaux. Ce qui les rend apparemment insolubles. Or, sur la base d’un concept unique transmis par des ET à l’auteur, ce qui constitue un pas décisif en matière d’exopolitique (relations diplomatiques ET/humains), la Science des Extraterrestres présente des explications claires et nombreuses telles que celles qui suivent, extraites de l’ouvrage.

Du reste, ce nouveau paradigme ne se contente pas d’apporter une solution au paranormal. Il explique aussi la masse manquante de l’univers, les anomalies cosmologiques, la structure de l’atome et autres paradoxes quantiques, équations à l’appui. Une fois assimilée la nature du temps, il est aisé de comprendre les effets de l’une de ses trois dimensions, la densité.

Une nef ET est entourée de strates concentriques de bulles temporelles aplaties. Ces bulles sont bien sûr invisibles dans la réalité. Il en est de même des ondes dont nous ne percevons que les effets.

L’écart entre matériel et spirituel ne provient que d’une différence d’écoulement de temps

La fréquence des ondes sonores diminue en s’écartant de l’OVNI par effet de variation temporelle. De façon générale, le son éventuel en provenance d’un OVNI est toujours aux limites de l’audible : basses ou hautes fréquences. Elle devient un infrason une fois sortie des bulles temporelles. D’où leur perception « auditive » par les seuls animaux dotés d’organes spécifiques. Ils manifestent alors de la nervosité ou de la peur, ne comprenant pas d’où vient ce « bruit ».

Le bang supersonique est absent chez les ET car l’air est progressivement ralenti jusqu’au fuselage. Le temps passe plus lentement dans les bulles temporelles successives. Le mur du son n’existe tout simplement pas. Du reste, un vaisseau ET n’est pas à proprement parler « volant ». Il n’entre pas dans le cadre des lois aérodynamiques du vol (force de sustentation). C’est pourquoi les OVNI sont ONI…

Dans la perception « visuelle », les écarts sont également compréhensibles. Les champs temporels autour de l’OVNI respectent la Relativité Absolue : « plus il y a de temps, moins il y a d’espace, et inversement ». Ainsi, selon l’intensité et l’influence de ces champs, la perception des témoins variera pour le même objet. Un vaisseau sera plus ou moins lumineux, plus ou moins grand, plus ou moins matériel. D’où les rapports divergents des témoins. Si les abductés (« enlevés ») s’étonnent de l’énorme dimension intérieure, elle n’en est pas moins explicable : la taille des OVNI est relative au référentiel temporel. Ils sont petits hors du champ, grand à l’intérieur.

Les moyens techniques d’observation sont à la même enseigne. Les photographies d’OVNI sont plus ou moins floues. Les bulles temporelles sont équivalentes à la capture d’un objet en mouvement rapide même si l’OVNI est stationnaire.

Haute densité de temps rime avec vision psychique du témoin, vision qu’un ET peut influencer. Beaucoup d’apparitions passées ressemblaient au niveau technique de l’époque : chars, dirigeables, etc. Ces visions étaient produites par les ET avec le consentement de notre subconscient, siège des formes-pensées longtemps émises, multipliées et consolidées par nos croyances, c’est-à-dire notre « imagination » du moment. En fait, imagination = création d’informations = réalité. Faisons en effet remarquer qu’il n’existe que création dans l’univers. Il n’y a aucune réalité sans création car la réalité EST création, quelle qu’en soit l’origine. Tentez de démontrer l’inverse ! Je vous souhaite bon courage. C’est précisément tout le problème de la perception qui se superpose à notre propre créativité psychique qui est à la fois légitime, naturelle et universelle, donc logique. Donc toute perception est VRAIE mais plus ou moins partagée ! C’est pourquoi la Réalité est Illusion et inversement. A nouveau, relisez lentement ce qui précède car bien des débats pourraient s’apaiser. Les formes « réelles » des vaisseaux ET, dans les témoignages contemporains, coïncident avec la diffusion massive des appareils photographiques qu’une émission psychique ne peut influencer car n’ayant pas accès aux plus hautes densités de temps. Les ET n’ont a priori plus besoin d’adapter notre perception et se présentent de plus en plus tels qu’ils sont de leur point de vue. Libérée des croyances créatives (description déformée des témoins au cours de l’histoire), tout n’est donc, pour l’humanité, qu’un problème de maturité perceptive, y compris psychique et spirituelle !

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Les extraterrestres ne font rien d’autre que de respecter les lois de la nature

Les radars émettent des ondes que les corps matériels réfléchissent. Un module de détection reçoit en retour une faible portion de ces ondes qu’il amplifie et traduit sous forme de plot lumineux. Mais le train d’ondes émis rencontre alors un champ temporel qui fait varier la fréquence elle-même, et non la direction des ondes (cas de la technologie furtive de nos avions). Si cette modification est trop grande, la nouvelle fréquence sortira du spectre du radar. Les vaisseaux matériels, bien que confirmés par des témoins visuels, ne sont pas toujours détectés par une station : les fréquences radar sont inférieures aux fréquences lumineuses.

Plusieurs effets secondaires découlent des lois maîtrisées par les ET. Les faisceaux de lumière tronqués sont un de ceux-là. Leur longueur est incluse dans le champ temporel du vaisseau. Au-delà de la bulle, comme pour les ondes sonores, la lumière disparaît pour descendre dans l’infrarouge.

Les OVNI peuvent se cacher dans les nuages qu’ils forment eux-mêmes. Le champ temporel crée une zone de froid par application d’un condensat Bose-Einstein. Une condensation de la vapeur d’eau (principe très différent) se produit alors autour de la nef comme lorsque vous sortez une bouteille d’eau fraîche d’un réfrigérateur. Une brume, un brouillard et un même un nuage dense peuvent apparaître en fonction des conditions extérieures.

Après les phénomènes de perception, attachons-nous à la technique proprement dite. La sustentation des nefs semble prodigieuse. Or, les ET ne font rien d’autre que de respecter les lois de la nature. La force de gravitation, comme toute force ayant besoin d’un point d’application, contrairement à celles de la mécanique quantique, s’écrit F=m.a. Soit une masse par une accélération. Cette dernière est une distance sur un temps au carré. Donc plus le temps augmente, plus la force diminue ! L’antigravité des ET est en réalité une dégravitation. Toute la difficulté est de savoir produire plus de temps localement. La solution se trouve dans la technologie.

Une nef ET est constituée d’un double rotor à rotation inversée, d’un réseau supraconducteur, d’un oscillateur central et d’un tore périphérique. La place manque ici pour rédiger la description détaillée que l’ouvrage en fait.

Les vaisseaux ET sont capables de matérialisation et de dématérialisation, en mouvement ou sur place. Elles sont dues aux variations de l’intensité du champ temporel. Il est capital de comprendre qu’une telle nef n’a AUCUNE PROPULSION au sens classique du terme. C’est le jeu conjugué de la direction adoptée et de cette variation qui provoque et permet le mouvement et la navigation. Une fois l’orientation stabilisée et l’impulsion initiale du mouvement donnée, l’augmentation de l’intensité du champ temporel réduit la taille de l’univers dans lequel les ET voyagent. C’est en fait la destination qui se rapproche du vaisseau !

L’espace n’est alors ni isotrope ni homogène. Il s’agit d’une maîtrise pure et simple de l’espace et du temps. Ce qui importe est de saisir le mécanisme de changement de direction. Il est assuré par les deux rotors à rotation inversée. L’assiette d’un OVNI est dictée par un différentiel temporaire de vitesse de rotation des rotors pris séparément. Ce déphasage explique le comportement en feuille morte décrit par les témoins. Des effets gyroscopiques bien connus produisent alors des changements de cap dans les trois dimensions de l’espace. Aucune considération aérodynamique n’est utile pour piloter un vaisseau ET, pas même la MHD (MagnétoHydroDynamique). Retenons simplement que les accélérations foudroyantes sont des illusions dues au changement de densité de temps du vaisseau.

Aucune considération aérodynamique n’est utile pour piloter un vaisseau ET, pas même la MHD

Parlons des vrais crop circles, ces cercles dans les blés qui apparaissent avant la moisson. Ils sont bel et bien le produit de la créativité des ET.

Ces agroglyphes sont réalisés dans des conditions parfaitement identifiables avec le même et unique principe. Un vaisseau de la taille d’une grosse luciole (parfois invisible), taille adaptée à une exécution rapide de l’œuvre, crée une zone de froid au-dessus du champ de blé. Ce faisant, une légère condensation apparaît permettant aux céréales d’absorber cette humidité en conjugaison avec une émission « naturelle » de micro-ondes (le spectre électromagnétique universel est le domaine de vol des ET). Cette situation ramollit et ionise le blé. Celui-ci est contracté dans le champ temporel du vaisseau lorsque ce dernier passe au-dessus (« plus il y a de temps, moins il y a d’espace »). Le premier nœud est alors mécaniquement étiré et cuit.

L’OVNI décrit une trajectoire conforme à la forme à produire. Il aspire les épis mous et ionisés dans son champ magnétique. Une fois l’influence dégravitationnelle passée, ils n’ont plus qu’à se coucher. Certains épis seront enchevêtrés dans les zones d’intersection de l’influence du vaisseau. En effet, les épis déjà couchés vont à nouveau se soulever, s’orienter de côté lors du passage décalé du vaisseau-luciole et se mêler aux épis voisins.

Ces éclaircissements, ici très fragmentaires par rapport à l’ouvrage, constituent aux yeux de beaucoup une avancée spectaculaire dans la compréhension du phénomène OVNI, et même au-delà.

La guerre des mondes aura-t-elle lieu ? N’est-elle pas que l’expression de notre peur de l’inconnu, de notre incompréhension des lois intimes de l’univers ? Jadis, les éclairs de l’orage représentaient la colère des dieux. Aujourd’hui, les manifestations ufologiques produisent en nous des réactions de survie et, partant, d’agressivité. D’où notre rejet immunologique, d’où cet exorcisme de masse dans les salles sombres.

La lumineuse vérité ne peut faire peur qu’à ceux qui ne cessent de justifier leurs croyances. Pas à une démocratie libre, responsable et entreprenante. La Science des Extraterrestres devrait assouvir notre soif d’évoluer vers le niveau de ceux que nous craignons par ignorance. Si la connaissance protège c’est parce qu’elle libère. Y compris de la médisance.

Le progrès reconnaîtra les siens. C’est une question de temps…

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